
Le lecteur régulier de ce blog* se souvient que, fin janvier, un chien enjoignait son maître à combler ses lacunes à propos du quartier de Florissant, puis à lui démontrer qu’il avait vraiment compris qu’il s’agissait d’un espace vécu, vécu par des habitants dotés de la parole, et de bien d’autres qualités encore.
Pendant que les chevreuils gambadent, que les chenilles rampent lourdement et que les pigeons volent en formation, les habitants de Florissant gambergent.
Renens, avenue de Florissant: d’un côté un quartier de huit barres à taille humaine où se côtoient ouvriers, cadres, artisans, de Suisse et d’ailleurs, de l’autre côté, Prilly, un grand quartier d’usines. Il suffit de traverser l’avenue, en regardant bien à gauche puis à droite, pour passer de l’un à l’autre.