
Il y a dix jours, l’étang des Biondes n’était pas tout à fait achevé, mais il était déjà en eau. Reflets de branches et fleurs de merisiers y pleuvaient.
Le lecteur régulier de ce blog* se souvient que, fin janvier, un chien enjoignait son maître à combler ses lacunes à propos du quartier de Florissant, puis à lui démontrer qu’il avait vraiment compris qu’il s’agissait d’un espace vécu, vécu par des habitants dotés de la parole, et de bien d’autres qualités encore.